Bonjour moi je vien faire un tit coup de pub.
Le groupe s'apelle DRÖKMAAR, on vient du Kreizbreizhkistan et on fait du TikTik Métal.
j'en di pas plus leur site:
http://www.asso-no.com" onclick="window.open(this.href);return false;
DRÖKMAAR
- louis
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Mouhahahahahahaha vous ne vous etes pas assez méfiés d'eux!!!!!!!
Et voila, après 3 ans à jouer en duo dont 1 d'absence, DRÖKMAAR le mythique groupe de TIKTIK Métaal revient en force et acceuille en son sein un bassiste. Le style évolue mais la précision et la puissance sont toujours là!
Le 20 février prochain, ils donneront à Kergrist-Moelou(22) un concert gratuit ou ils feront la sortie de leur nouvel album composé de 27 titres!! Et que du lourd de chez lourd (enfin presque).
Hahahahahaha bondes de mouches
- Skull
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Re: DRÖKMAAR
plop
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Re: DRÖKMAAR
A noter aussi que des chroniques ont été écrites sur l'allbum "Tik Bloody Tik":
Chronique de VS-Webzine par Gardian666: (Avril2010)
Drokmaar est un groupe français qui nous vient du Kreizbreizhkistan (ou le centre de la Bretagne si vous préférez) et qui nous joue un metal expérimental allumé et assez primitif. Expérimental me semble être le meilleur qualificatif que l'on puisse attribuer à la musique du groupe, tant elle puise dans différents styles: le heavy, le thrash, le death, le hardcore, voire le punk. La particularité de Drokmaar -ce qui rajoute de l'expérimentation à leur musique- se situe dans les textes, puisqu'ils sont aux 3/4 composés d'onomatopées braillées voire hurlées, qui n'ont souvent aucun sens. Difficile dès lors de prendre le groupe au sérieux (d'autant plus que le son est quelque peu cradingue, renforçant un peu plus le côté barré du concept Drokmaar). Et pour écouter ce second album du groupe, il faut s'accrocher, prévoir du café pour tenir bon, l'album étant composé de pas moins de 27 titres, pour plus de 78 minutes de musique (et autres sons indescriptibles). Le groupe qui joue sous la forme d'un trio, ne nous sert pas 27 fois la même sauce (heureusement d'ailleurs), et pense quelque peu à varier les compositions, si bien que l'album passe relativement vite, à part quelques moments où des morceaux plus brutaux en onomatopées se suivent et se ressemblent. Disons qu'en arrivant à la "ballade", "Come to my Bed", on commence un peu à respirer (avec de superbes paroles d'amour, à la sauce Drokmaar bien sûr !)
Si environ la moitié des morceaux partent dans des délires d'onomatopées et autres déferlantes de sonorités barrées ("John the Trucker", le délirant "Ayeboyo", "Lunatika", "You Smell", etc), mais avec une bonne dose de riffs acérés, le groupe est un peu une sorte de Double Face de la musique et il sait se montrer bien plus dérangeant et sordide. De là à dire qu'ils sont plus sérieux, peut-être pas, mais on peut dire qu'ils savent proposer des ambiances plus glauques. Pour tout vous dire, "Coc Trip", dont la basse écrasante nous saigne les tympans est un petit aperçu en début d'album de cette autre facette du groupe, qui nous prendrait presque aux tripes ! Si l'interlude "Les Cris" qui est à juste titre composé de toutes sortes de cris de tortures et terreurs est quelque peu prévisible, malgré un côté malsain qui se fait ressentir, un titre comme "Droky Circus", qui excède les 6 minutes nous plonge véritablement dans des profondeurs abyssales et ténébreuses. La touche ambiante pourrait provenir d'un groupe de black metal qui jouerait avec les ambiances, tellement c'est bien fichu. De plus, les rares, mais intelligentes accélérations avec double pédale en prime font très mal ! D'autres titres évoquent aussi ces sonorités dérangeantes, comme le morceau "Charles" et sa grosse basse groovy, ou le bien nommé "The Beast". L'album est aussi agrémenté de 5/6 interludes qui "aèrent" un peu l'album, mais qui dans le fond n'apportent rien.
Si à la première écoute on peut trouver cet album de Drokmaar peu intéressant et quelque peu répétitif, je pense qu'il est utile d'approfondir l'écoute pour s'apercevoir qu'il y a quand même un certain travail qui a été réalisé derrière cette montagne de délires. Une curiosité, un album avec de l'originalité, un mélange de sérieux et de rigolade, pourquoi pas après tout ?
l'album peut être téléchargé dans son intégralité à cette adresse:
ou à celle-ci:
Chronique du Cri de L'ormeau du mois de Mai 2010 par D'jouls:
Drökmaar : Tik bloody tik
oguant sur leur drakkar entre le Blavet et le canal de Nantes à Brest, les Drökmaar sèment sur le kreizbreizhkistan les douces notes de leur métal expérimental et les non moins doux sons de leurs hurlements en onomatopées (beaux exemples sur les titres Ayeboyo et Lsb).
Le 2è album de Drökmaar, Tik Bloody Tik, vient confirmer, s’il en était encore besoin, l’étendu de la créativité qui règne en Centre-Ouest Bretagne. Le groupe des origines est un duo, Fanch à la guitare et Louis à la batterie. Formé en 2006, le groupe sort aujourd'hui son deuxième album autoproduit. Pour l'occasion, un 3è viking les a rejoint, Zoran Vasilic, guitariste bien connu de cette contrée (Planète Z) qui prend la basse, changeant ainsi profondément la couleur d’ensemble.
Ce qui ne change pas, c’est l’énergie et l’humour. Pas de grands messages ni de textes engagés mais un groupe amateur qui se transforme petit à petit en un ensemble cohérent et très productif : 27 titres, 77 mn de son et de nombreuses occasions de les découvrir sur scène dans le département en mai, juin et juillet. Enregistré "à la maison", la qualité d’enregistrement ne permet pas néanmoins de faire ressortir l’étendue de leur talent et de leur originalité. En tous cas à suivre sur la planète métal pour l’instant en local mais en leur souhaitant d’aller plus loin.
Chronique sur French-Métal par Danivempire:
Drokmaar
vient du Kreizbreizhkistan. Ca se trouve où ça vous allez me dire ?
Quelque part en Bretagne, dans un asile psychiatrique à mon avis, car
c'est le seul endroit d'où les zozos qui ont fait cet "album" peuvent se
trouver. On va dire que c'est expérimental... TRES expérimental, c'est
censé être du "tik-tik métal" ça ne s'invente pas. Métalliquement
parlant, c'est un fourre-tout. On passe allègrement du death, au thrash,
au black, au heavy, voire blues, voire du n'importe quoi très souvent.
Là où le truc prend la tournure la plus bizarre est que les gens qui
"chantent" (hommes et femmes) font pour le ¾ de l'album que des bruits
bizarres ou des syllabes, genre "wawawa", "tiktiktiktik",
"humhumhumhum"... Et les quelques paroles "humaines" sont totalement
incensées et dénuées de sens. On est plus ou moins dans le même registre
que des groupes tels que Excrementory Grindfuckers ou Impaled Northern
Moonforest. Maintenant il faut l'avouer, tenir le coup durant les 77
minutes qui composent les 27 titres est parfois difficile. Par contre,
le son de la production est très honnête pour de l'auto production
(merde, deux fois le même mot dans la même phrase... merde, "même" deux
fois dans la même phrase... merde, deux fois "merde" dans la même euh
non... 3 fois... euh... soit). Musicalement, ça tient la route, les
riffs et la batterie sont maîtrisée, les titres sont bien écrits et la
rythmique est même très sympa mais les vocals... my fucking god.
Rarement gutturales, au pire un peu graves mais plus souvent hurlées,
les paroles et diverses onomatopées sont totalement nawak-style.
Maintenant est ce que c'est nul ? Non. Marrant ? Oui. Utile ? Non.
Faut-il l'acheter ? Euhhhhhhh Non... ou alors excessivement pas cher...
d'ailleurs il est écoutable en intégralité sur le site du groupe et
téléchargable. Cela peut être sympa entre potes et entre bières de
mettre le CD en fond sonore et se marrer sur cette O.M.N.I (Objet
Musical Non Identifié) mais vous ne le mettrez pas souvent dans l'auto
radio pour aller au boulot... Vous remarquerez que ma chronique est
parfois incohérente par endroits, mais écrire dans la langue de Molière
tout en écoutant "Tik Bloody Tik" est assez difficile. Une note ? Je
suis obligé ? J'ai du mal...
Danivempire
Mai 2010
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Chronique de VS-Webzine par Gardian666: (Avril2010)
Drokmaar est un groupe français qui nous vient du Kreizbreizhkistan (ou le centre de la Bretagne si vous préférez) et qui nous joue un metal expérimental allumé et assez primitif. Expérimental me semble être le meilleur qualificatif que l'on puisse attribuer à la musique du groupe, tant elle puise dans différents styles: le heavy, le thrash, le death, le hardcore, voire le punk. La particularité de Drokmaar -ce qui rajoute de l'expérimentation à leur musique- se situe dans les textes, puisqu'ils sont aux 3/4 composés d'onomatopées braillées voire hurlées, qui n'ont souvent aucun sens. Difficile dès lors de prendre le groupe au sérieux (d'autant plus que le son est quelque peu cradingue, renforçant un peu plus le côté barré du concept Drokmaar). Et pour écouter ce second album du groupe, il faut s'accrocher, prévoir du café pour tenir bon, l'album étant composé de pas moins de 27 titres, pour plus de 78 minutes de musique (et autres sons indescriptibles). Le groupe qui joue sous la forme d'un trio, ne nous sert pas 27 fois la même sauce (heureusement d'ailleurs), et pense quelque peu à varier les compositions, si bien que l'album passe relativement vite, à part quelques moments où des morceaux plus brutaux en onomatopées se suivent et se ressemblent. Disons qu'en arrivant à la "ballade", "Come to my Bed", on commence un peu à respirer (avec de superbes paroles d'amour, à la sauce Drokmaar bien sûr !)
Si environ la moitié des morceaux partent dans des délires d'onomatopées et autres déferlantes de sonorités barrées ("John the Trucker", le délirant "Ayeboyo", "Lunatika", "You Smell", etc), mais avec une bonne dose de riffs acérés, le groupe est un peu une sorte de Double Face de la musique et il sait se montrer bien plus dérangeant et sordide. De là à dire qu'ils sont plus sérieux, peut-être pas, mais on peut dire qu'ils savent proposer des ambiances plus glauques. Pour tout vous dire, "Coc Trip", dont la basse écrasante nous saigne les tympans est un petit aperçu en début d'album de cette autre facette du groupe, qui nous prendrait presque aux tripes ! Si l'interlude "Les Cris" qui est à juste titre composé de toutes sortes de cris de tortures et terreurs est quelque peu prévisible, malgré un côté malsain qui se fait ressentir, un titre comme "Droky Circus", qui excède les 6 minutes nous plonge véritablement dans des profondeurs abyssales et ténébreuses. La touche ambiante pourrait provenir d'un groupe de black metal qui jouerait avec les ambiances, tellement c'est bien fichu. De plus, les rares, mais intelligentes accélérations avec double pédale en prime font très mal ! D'autres titres évoquent aussi ces sonorités dérangeantes, comme le morceau "Charles" et sa grosse basse groovy, ou le bien nommé "The Beast". L'album est aussi agrémenté de 5/6 interludes qui "aèrent" un peu l'album, mais qui dans le fond n'apportent rien.
Si à la première écoute on peut trouver cet album de Drokmaar peu intéressant et quelque peu répétitif, je pense qu'il est utile d'approfondir l'écoute pour s'apercevoir qu'il y a quand même un certain travail qui a été réalisé derrière cette montagne de délires. Une curiosité, un album avec de l'originalité, un mélange de sérieux et de rigolade, pourquoi pas après tout ?
l'album peut être téléchargé dans son intégralité à cette adresse:
ou à celle-ci:
Chronique du Cri de L'ormeau du mois de Mai 2010 par D'jouls:
Drökmaar : Tik bloody tik
oguant sur leur drakkar entre le Blavet et le canal de Nantes à Brest, les Drökmaar sèment sur le kreizbreizhkistan les douces notes de leur métal expérimental et les non moins doux sons de leurs hurlements en onomatopées (beaux exemples sur les titres Ayeboyo et Lsb).
Le 2è album de Drökmaar, Tik Bloody Tik, vient confirmer, s’il en était encore besoin, l’étendu de la créativité qui règne en Centre-Ouest Bretagne. Le groupe des origines est un duo, Fanch à la guitare et Louis à la batterie. Formé en 2006, le groupe sort aujourd'hui son deuxième album autoproduit. Pour l'occasion, un 3è viking les a rejoint, Zoran Vasilic, guitariste bien connu de cette contrée (Planète Z) qui prend la basse, changeant ainsi profondément la couleur d’ensemble.
Ce qui ne change pas, c’est l’énergie et l’humour. Pas de grands messages ni de textes engagés mais un groupe amateur qui se transforme petit à petit en un ensemble cohérent et très productif : 27 titres, 77 mn de son et de nombreuses occasions de les découvrir sur scène dans le département en mai, juin et juillet. Enregistré "à la maison", la qualité d’enregistrement ne permet pas néanmoins de faire ressortir l’étendue de leur talent et de leur originalité. En tous cas à suivre sur la planète métal pour l’instant en local mais en leur souhaitant d’aller plus loin.
Chronique sur French-Métal par Danivempire:
Drokmaar
vient du Kreizbreizhkistan. Ca se trouve où ça vous allez me dire ?
Quelque part en Bretagne, dans un asile psychiatrique à mon avis, car
c'est le seul endroit d'où les zozos qui ont fait cet "album" peuvent se
trouver. On va dire que c'est expérimental... TRES expérimental, c'est
censé être du "tik-tik métal" ça ne s'invente pas. Métalliquement
parlant, c'est un fourre-tout. On passe allègrement du death, au thrash,
au black, au heavy, voire blues, voire du n'importe quoi très souvent.
Là où le truc prend la tournure la plus bizarre est que les gens qui
"chantent" (hommes et femmes) font pour le ¾ de l'album que des bruits
bizarres ou des syllabes, genre "wawawa", "tiktiktiktik",
"humhumhumhum"... Et les quelques paroles "humaines" sont totalement
incensées et dénuées de sens. On est plus ou moins dans le même registre
que des groupes tels que Excrementory Grindfuckers ou Impaled Northern
Moonforest. Maintenant il faut l'avouer, tenir le coup durant les 77
minutes qui composent les 27 titres est parfois difficile. Par contre,
le son de la production est très honnête pour de l'auto production
(merde, deux fois le même mot dans la même phrase... merde, "même" deux
fois dans la même phrase... merde, deux fois "merde" dans la même euh
non... 3 fois... euh... soit). Musicalement, ça tient la route, les
riffs et la batterie sont maîtrisée, les titres sont bien écrits et la
rythmique est même très sympa mais les vocals... my fucking god.
Rarement gutturales, au pire un peu graves mais plus souvent hurlées,
les paroles et diverses onomatopées sont totalement nawak-style.
Maintenant est ce que c'est nul ? Non. Marrant ? Oui. Utile ? Non.
Faut-il l'acheter ? Euhhhhhhh Non... ou alors excessivement pas cher...
d'ailleurs il est écoutable en intégralité sur le site du groupe et
téléchargable. Cela peut être sympa entre potes et entre bières de
mettre le CD en fond sonore et se marrer sur cette O.M.N.I (Objet
Musical Non Identifié) mais vous ne le mettrez pas souvent dans l'auto
radio pour aller au boulot... Vous remarquerez que ma chronique est
parfois incohérente par endroits, mais écrire dans la langue de Molière
tout en écoutant "Tik Bloody Tik" est assez difficile. Une note ? Je
suis obligé ? J'ai du mal...
Danivempire
Mai 2010
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