l alcool et ou autre drogue+répètes ou live ou compo

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Alexandre
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Re: killer world

Message par Alexandre »

soft a écrit : au moins une certitude: la psychanalyse tue
j'veux bien que tu développes... :?

quant à la religion, le sport, le surendettement je ne vois pas trop ce que cela vient faire dans le débat...mais il est vrai eu certains peuvent prier ou faire du sport avant de monter sur scène...par contre se surendetter avant un concert...je vois pas trop :roll:

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soft
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pills

Message par soft »

j'ai développé en MP;

pour la religion, le sport et la consommation effrénée ce sont des pratiques addictives qui permettent d'échapper aux "réalités" et dont certaines se montrent plus meurtrières que les overdoses; j'assimile la surconsommation à une drogue et le surendettement à l'aliénation;
" the surest sign that intelligent life exists elsewhere in the universe is that none of it has tried to contact us"

Alexandre

Re: pills

Message par Alexandre »

soft a écrit :j'ai développé en MP;

pour la religion, le sport et la consommation effrénée ce sont des pratiques addictives qui permettent d'échapper aux "réalités" et dont certaines se montrent plus meurtrières que les overdoses; j'assimile la surconsommation à une drogue et le surendettement à l'aliénation;
là nous sommes d'accord ;)

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ellipse
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Message par ellipse »

Autant pour moi, Alexandre, d'avoir eu plaisir à te lire... que nous soyions d'accord ou non... ce qui suit ne relève d'ailleurs que de mon simple jugement et ne prétend en rien constituer l'universelle vérité sur la question :wink:

Alexandre a écrit : La prise de drogue n'intervient pas dans le cas d'imagination défaillante...elle intervient dans le rapport à soi. C'est une prise de distance avec soi même qui permet notamment d'évacuer l'angoisse...le stress, l'anxiété...d'éteindre pendant un certain temps nos warning.
C'est justement parce que la prise de produits stupéfiants altère les rapports de perceptions interne et externe qu'elle influence directement le processus créatif : cette distanciation de la conscience d'avec elle même que tu évoques n'existe d'ailleurs pas car elle induirait un caractère introspectif en laquelle soi serait à soi indépendamment de soi... attitude d'une dimension tant contemplative que discursive requérant la pleine maîtrise d'une conscience lucide ; également, la prise de produits stupéfiants n'évacue ni angoisse, ni anxiété : elle n'agit que comme substitut masquant ; cette tension qui m'étreint ne me stimulera plus défavorablement par l'ingestion de drogues... mais ne manquera pas de reparaître lorsque les conditions spécifiques qui l'avaient justifiée seront de nouveau remplies.
Alexandre a écrit :La créativité demande un détachement de soi-même et une captation d'éléments inconscients qui trouvent leur origine dans notre histoire personnelle.
Comment pourrait-on créer si l'on est "détaché" de soi ? Et, de là, qui, en l'occurence, crééra à notre place ? C'est justement parce l'on est à soi, au coeur de soi, dans la pureté de son intimité d'être que l'on peut véritablement créer ; la création, c'est l'exposition de soi par le biais d'un support défini... et c'est ce même terme médiat qui attestera de la quintessence de soi... j'affirme donc que pour créer, il faut être à soi sur le mode d'une fusion unique, solennelle, à l'horizon d'une grave révélation d'être...
Alexandre a écrit :Il existe 2sortesde créateurs : ceux qui ont été surstimulés, dans ce cas la création permet de vider le trop plein et ceux qui ont manqué de stimulations, dans ce cas la créations permettant de combler ce vide.
C'est, à mon sens, une analyse strictement formelle et sensiblement réductrice ; je pose qu'il n'est de créateur qu'en rapport d'une synthèse de manques spécifiques ; ce que l'on créé, ce n'est jamais qu'une matière d'être idéalisée, laquelle place soi en transcendance de soi ; cette pièce musicale aboutie, elle est ce que je suis dans un projet d'être unique : elle correspond à l'actualisation d'une idée dont je suis la représentation originaire. Ce tableau, c'est la matérialisaiton de l'artiste, mais tout autant, c'est cet artiste matérialisé dans ce qu'il est à être : l'expression d'un manque compensé. Ce manque, dans le besoin impérieux de représentation d'être, cette compensation, dans la peinture achevée.
Alexandre a écrit : C'est pour cette raison que quand je lis Grimm nous parler de normalité en matière trac j'ai les poils qui se hérissent. Môsieur part du principe que tout le monde doit réagir comme lui...(encore un processus de réassurance de bas étage qui nous amène à des systèmes psychorigides cherchant à gommer les différences...."le meilleur des mondes " selon Aldous Huxley....).
Là, en revanche, nous sommes d'accord ; notre ami Grimm à certainement raison au sens large du terme : le "trac" affecte la très grande majorité d'entre nous... mais, car il y a un "mais" : une majorité implique une minorité... et je vais paraître certainement bien prétentieux mais je dois avouer que le trac, eh bien... je ne l'ai jamais lorsque je monte sur scène. Je n'y peux rien, c'est ainsi. Alors évidemment, les concerts auxquels je participe habituellement sont toujours très modestes... peut être passerais-je par toutes les couleurs du prisme :lol: s'il me fallait jouer devant un auditoire de grands professionnels du style, s'il y avait foule -ce sera certainement dans une autre vie- lors de nos prestations... peut être, donc... mais en attendant ces fastes moments... si je devais tenter d'expliquer l'absence de cette étrange tension, c'est probablement parce que lorsque je joue devant un public, je ne m'inscris dans aucune démarche "égo-promotionnelle", ni démonstratrice ni "compétitrice" ; bien au contraire : je me laisse littéralement aller à moi-même, je laisse libre cours à tous mes débordements, la scène m'est infiniment cathartique...
Alexandre a écrit :Concernant le trac, c'est juste une question de gestion du stress ET DES EMOTIONS (!!!)...nullement question de normalité (en plus merci du cadeau quand on voit ceux qui se prennent pour des normes :lol: ).
De nouveau d'accord avec toi ; même si je relativiserai tout de même en précisant que les personnes affectées de trac sont autrement plus nombreuses que celles qui ne le sont pas ; cepndant, tu as raison : le trac se maîtrise très progressivement ou tout au moins s'atténue notablement lorsqu'on lui oppose les techniques adéquates. La plus simple : affronter le plus souvent possible ce qui le cause ; par extension, et dans un tout autre domaine... mais pour demeurer dans le problème du manque d'assurance, qui craint l'autre aura le plus grand intêret à fréquenter les salles de boxe. Effet radical garanti.

Alexandre

Message par Alexandre »

ellipse a écrit :Autant pour moi, Alexandre, d'avoir eu plaisir à te lire... que nous soyions d'accord ou non... ce qui suit ne relève d'ailleurs que de mon simple jugement et ne prétend en rien constituer l'universelle vérité sur la question :wink:

Alexandre a écrit : La prise de drogue n'intervient pas dans le cas d'imagination défaillante...elle intervient dans le rapport à soi. C'est une prise de distance avec soi même qui permet notamment d'évacuer l'angoisse...le stress, l'anxiété...d'éteindre pendant un certain temps nos warning.
C'est justement parce que la prise de produits stupéfiants altère les rapports de perceptions interne et externe qu'elle influence directement le processus créatif : cette distanciation de la conscience d'avec elle même que tu évoques n'existe d'ailleurs pas car elle induirait un caractère introspectif en laquelle soi serait à soi indépendamment de soi... attitude d'une dimension tant contemplative que discursive requérant la pleine maîtrise d'une conscience lucide ; également, la prise de produits stupéfiants n'évacue ni angoisse, ni anxiété : elle n'agit que comme substitut masquant ; cette tension qui m'étreint ne me stimulera plus défavorablement par l'ingestion de drogues... mais ne manquera pas de reparaître lorsque les conditions spécifiques qui l'avaient justifiée seront de nouveau remplies.
Cette influence directe sur la créativité est une conséquence et non une cause. La distanciation par rapport à soi se manifeste par le biais de 2 processus principalement : l'identification projective et la dépersonnalisation. Cela signifie que du matériel inconscient va être projeté sur l'autre (cela peut être une toile, une partition (...)) ou a minima, hors de soi. Processus que l'on retrouve notamment chez les paranoïaques ou dans le cas de certains traumatismes psychiques (les personnes te diront qu'elles se sont vues de 'extérieur, qu'elles étaient hors de leur corps.
De fait nous sommes d'accord sur le fait, qu'en réalité, les drogues n'enlèvent pas l'angoisse mais ne faut que la masquer...pour un temps...jusqu'à ce que les effets s'estompent...amenant ainsi à renouveler la prise...etc, etc, etc...avec pour conséquence également d'augmenter les doses, le corps s'habituant progressivement à la substance.Donc effectivement, c'est le double effet kiss cool des drogues, où l'angoisse sera décuplée à long terme.

Alexandre a écrit :La créativité demande un détachement de soi-même et une captation d'éléments inconscients qui trouvent leur origine dans notre histoire personnelle.
Comment pourrait-on créer si l'on est "détaché" de soi ? Et, de là, qui, en l'occurence, crééra à notre place ? C'est justement parce l'on est à soi, au coeur de soi, dans la pureté de son intimité d'être que l'on peut véritablement créer ; la création, c'est l'exposition de soi par le biais d'un support défini(si tu imaginais le nombre d'artistes qui refusent de le reconnaître !)... et c'est ce même terme médiat qui attestera de la quintessence de soi... j'affirme donc que pour créer, il faut être à soi sur le mode d'une fusion unique, solennelle, à l'horizon d'une grave révélation d'être...
Ca, ça fonctionne quand t'es pas fâché avec toi même ;)
Alexandre a écrit :Il existe 2sortesde créateurs : ceux qui ont été surstimulés, dans ce cas la création permet de vider le trop plein et ceux qui ont manqué de stimulations, dans ce cas la créations permettant de combler ce vide.
C'est, à mon sens, une analyse strictement formelle et sensiblement réductrice ; je pose qu'il n'est de créateur qu'en rapport d'une synthèse de manques spécifiques ; ce que l'on créé, ce n'est jamais qu'une matière d'être idéalisée, laquelle place soi en transcendance de soi ; cette pièce musicale aboutie, elle est ce que je suis dans un projet d'être unique : elle correspond à l'actualisation d'une idée dont je suis la représentation originaire. Ce tableau, c'est la matérialisaiton de l'artiste, mais tout autant, c'est cet artiste matérialisé dans ce qu'il est à être : l'expression d'un manque compensé. Ce manque, dans le besoin impérieux de représentation d'être, cette compensation, dans la peinture achevée.Ce n'est qu'un versant de la création...Je ne cherche pas à être réducteur mais juste à arriver à ce qui est originel dans la création. En psychanalyse on ne raisonne pas en bien ou en mal mais en terme de dynamique. Par exemple, le contraire de l'amour n'est pas la haine, ca, c'est la même pulsion qui va trouver son expression sur un versant connoté soit positivement soit négativement...aucun intérêt (!). Son contraire, c'est l'indifference...d'un côté il y a, de l'autre il n'y a pas. Sur cette même vision... trop plein/vide.
Alexandre a écrit : C'est pour cette raison que quand je lis Grimm nous parler de normalité en matière trac j'ai les poils qui se hérissent. Môsieur part du principe que tout le monde doit réagir comme lui...(encore un processus de réassurance de bas étage qui nous amène à des systèmes psychorigides cherchant à gommer les différences...."le meilleur des mondes " selon Aldous Huxley....).
Là, en revanche, nous sommes d'accord ; notre ami Grimm à certainement raison au sens large du terme : le "trac" affecte la très grande majorité d'entre nous... mais, car il y a un "mais" : une majorité implique une minorité... et je vais paraître certainement bien prétentieux mais je dois avouer que le trac, eh bien... je ne l'ai jamais lorsque je monte sur scène. Je n'y peux rien, c'est ainsi. Alors évidemment, les concerts auxquels je participe habituellement sont toujours très modestes... peut être passerais-je par toutes les couleurs du prisme :lol: s'il me fallait jouer devant un auditoire de grands professionnels du style, s'il y avait foule -ce sera certainement dans une autre vie- lors de nos prestations... peut être, donc... mais en attendant ces fastes moments... si je devais tenter d'expliquer l'absence de cette étrange tension, c'est probablement parce que lorsque je joue devant un public, je ne m'inscris dans aucune démarche "égo-promotionnelle", ni démonstratrice ni "compétitrice" ; bien au contraire : je me laisse littéralement aller à moi-même, je laisse libre cours à tous mes débordements, la scène m'est infiniment cathartique... :+1!: Là il y aurait beaucoup à dire....mais peut-être pas ici ;) (j'suis obligé de me modérer moi-même :? )
Alexandre a écrit :Concernant le trac, c'est juste une question de gestion du stress ET DES EMOTIONS (!!!)...nullement question de normalité (en plus merci du cadeau quand on voit ceux qui se prennent pour des normes :lol: ).
De nouveau d'accord avec toi ; même si je relativiserai tout de même en précisant que les personnes affectées de trac sont autrement plus nombreuses que celles qui ne le sont pas ; cepndant, tu as raison : le trac se maîtrise très progressivement ou tout au moins s'atténue notablement lorsqu'on lui oppose les techniques adéquates. La plus simple : affronter le plus souvent possible ce qui le cause ; par extension, et dans un tout autre domaine... mais pour demeurer dans le problème du manque d'assurance, qui craint l'autre aura le plus grand intêret à fréquenter les salles de boxe. Effet radical garanti.[/quote]
On rejoint le paragraphe précédent.

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ellipse
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Message par ellipse »

Alexandre a écrit : Cette influence directe sur la créativité est une conséquence et non une cause. La distanciation par rapport à soi se manifeste par le biais de 2 processus principalement : l'identification projective et la dépersonnalisation. Cela signifie que du matériel inconscient va être projeté sur l'autre (cela peut être une toile, une partition (...)) ou a minima, hors de soi. Processus que l'on retrouve notamment chez les paranoïaques ou dans le cas de certains traumatismes psychiques (les personnes te diront qu'elles se sont vues de 'extérieur, qu'elles étaient hors de leur corps.
Tu reconnais donc l'influence directe des produits stupéfiants dont je parlais précédemment... et que tu récusais au départ.

En revanche, je ne vois nulle distanciation dans l'identification projective -puisque le sujet opère une démarche de récognition d'un soi actuel à un soi idéal et que la dynamique de cette démarche n'est jamais que pénétrée de ce soi qu'il est- et la dépersonalisation, en laquelle ces éléments inconscients ne sont jamais que tranferts de soi, ceux-là même fussent-ils inconscients, ils appartiennent de toutes façons à la psyché du sujet.

Alexandre a écrit : Ce n'est qu'un versant de la création...Je ne cherche pas à être réducteur mais juste à arriver à ce qui est originel dans la création. En psychanalyse on ne raisonne pas en bien ou en mal mais en terme de dynamique. Par exemple, le contraire de l'amour n'est pas la haine, ca, c'est la même pulsion qui va trouver son expression sur un versant connoté soit positivement soit négativement...aucun intérêt (!). Son contraire, c'est l'indifference...d'un côté il y a, de l'autre il n'y a pas. Sur cette même vision... trop plein/vide.
Justement, la psychanalyse en laquelle je ne crois pas ; Daco et ses miracles ne m'ont pas convaincu, Dolto encore moins, Lacan est souvent le seul à se comprendre, Jung et son inconscient collectif m'a intéressé un temps... puis plus du tout, quant à Freud, eh bien... je n'en parlerai même pas ; sans être néo sartrien pour un centime, je reconnais que la psychanalyse existentielle, pour peu qu'elle subisse des adaptations tant formelles qu'essentielles, m'a semblé démontré les errances et égarements de la science freudienne (et ses courants descendants, divergents ou non).

Enfin, Freud et les spychanalystes, pour la petite histoire, n'ont pas inventé la notion d'inconscient : les philosophes grecs l'ont pressentie, tout autant que Leibniz et sa monadologie, etc...

...je conclurai en précisant que j'ai été moi-même psychanalyste à titre expérientiel -je n'ai pas dit "expérimental"- et je me suis rendu compte des incongruités du système... dernièrement, la science a largement progressé et, par exemple, sait résorber définitivement les chocs psychologiques post traumatiques (je retrouverai le procédé thérapeutique mais je me doute que tu le connais) ce par rapport à quoi les psychanalystes s'insurgent : là où il fallait 20 ans pour régler le problème (long et coûteux, donc...) il ne faut que 12 séances pour traiter l'affection...

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Message par Dargh »

Oulà , vous êtes partis assez loin dans l'explication psychanalytique de ces " deviances " !!

Il suffit d'écouter un bon "Shine on your crazy diamond " des Pink Floyd , un album de Jimi Hendrix ou de lire un poème de Rainbaud pour se rendre compte que ses artistes étaient perchés à 30 000 pieds d'altitude et tout le monde sait comment ils ont procédé !!

Je ne remet pas en cause leurs dons et leurs qualités surement innés, mais le fait est que la prise de substance leur a permit de créer des morceaux , poèmes qui resteront dans l'histoire de la musique et de l'Art de manière général !!

Mais il y a eu également des artistes incontournables totalement clean .

C'est assez difficile de juger ce domaine particulièrement sensible ...
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Message par ellipse »

Dargh a écrit : Je ne remet pas en cause leurs dons et leurs qualités surement innés, mais le fait est que la prise de substance leur a permit de créer des morceaux , poèmes qui resteront dans l'histoire de la musique et de l'Art de manière général !!
Exact. C'est ce que je disais lorsque j'évoquais l'influence des drogues sur la créativité.

Alexandre

Message par Alexandre »

Yes, tu parles de l 'EMDR ;)

Sinon je ne récusais pas les effets, c'est juste que tu as amené le débat sur créativité/prise de drogues alors qu'à l'origine on parlait prise de drogue/stress d'avant concert :!:

Après que les drogues influent sur la créativité, oui bien entendu c'est effectivement l'un des objectifs, non ?

Bref, autres débat :arrow:

;)

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Message par ellipse »

Alexandre a écrit :
Sinon je ne récusais pas les effets, c'est juste que tu as amené le débat sur créativité/prise de drogues alors qu'à l'origine on parlait prise de drogue/stress d'avant concert :!:
...ah... mais pourtant :
Alexandre a écrit :La prise de drogue n'intervient pas dans le cas d'imagination défaillante...elle intervient dans le rapport à soi.

Alexandre a écrit : Yes, tu parles de l 'EMDR ;)
Merci ! Je ne me souvenais pas de l'abréviation... tu m'as évité des recherches :wink:

seb

Message par seb »

L'alccol peut "détendre" et permettre certaines fois d'eviter de jouer nerveusement et tendu vers un surcroit de tempo...

mais là faut être claire un verre pour détendre
mais pas 4 sky pour être trop detendu :lol:

mais je suis d'accord avec ce qui a été dit avant :
cela ne rend pas meilleur (sinon on vendrait plus de bouteilles que de cours de musique :lol:)

Souvent les meilleurs musicien (tout est relatif) ce sont ceux que j'ai vu parfaitement calme (zen) et SURTOUT concentré parfaitement sur le instru et leur "environnement" muscicale


Par ailleurs : faites l'experience
enregistrez vous avant d'avoir bu
et après avoir bu :wink:

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Message par =M.T= »

seb a écrit : Par ailleurs : faites l'experience
enregistrez vous avant d'avoir bu
et après avoir bu :wink:

:+1!: Mais écoutez en étant sobres :lol:
---
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Message par Rolala »

seb a écrit :mais je suis d'accord avec ce qui a été dit avant :
cela ne rend pas meilleur (sinon on vendrait plus de bouteilles que de cours de musique :lol: )
N'est-ce pas le cas?Je sors :arrow:

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Lostokar
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Message par Lostokar »

Je retourne à l'origine de la discution, excusez...

Il m'est arrivé avec mon ancien groupe de ska-punk de jointé et de bierré un peu pendant une répète. Et c'est pas terrible pour jouer. Il faut évidemment plus se concentrer si on ne veut pas se planter dans une structure par exemple.

En concert avec ce groupe, on était tous clean mais je me sentait carrément ailleurs en jouant. Je me lachant totalement, il n'y avait pas besoin de joins ou d'alcool pour ça. La musique me faisait planer.

seb

Message par seb »

La musique exige la concentration tout comme le dessin, ou autre discipline.

Une verre permet de se detendre et de laisser le crayon parcourir facilement tout le dessin

...mais 4 verres le dessin ressemble à rien de construit

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