Pour répondre à Agostinien.
je suis en accord avec tes deux dernières interventions.
mais nous sommes plusieurs à repérer un batteur AGO à deux cent mètres dès qu'il tape. Pourquoi?
si toi tu t'es éloigné du standard de son, tant mieux, mais je ne suis pas certain que de TON expérience il faille faire une règle.
il y a un moule AGO, si si, je l'entends.
un percu "classique" n'est pas souvent passé par la case batterie, mais normalement il peut s'y mettre avec peu de difficultés, autres que celle d'accorder du temps à la l'entrainement,et bien sur il faut se mettre dans esprit d'ouverture qui n'est pas donné à tout le monde. Souvent le percu crois avoir les clef pour tout savoir, et tout dominer, ce qui est un leure.
je ne suis pas d'accord avec toi concernant les illusions rythmiques , elles existent depuis longtemps en percu "classique" cependant, c'est dans la sollicitations des 4 membres que la batterie propose une forme d'aboutissement jamais atteinte par la percu.
(même si l'utilisation des 4 membres, il y a quelques exceptions, comme d'hab, par exemple Canto, pièce de timbales de E. Carter).
Mais l'illusion rythmique est beaucoup plus probante jouée à la batterie qu'en groupe de percu.
enfin, je me suis toujours demandé ce qu'aurais pu faire Xenakis si il avait connu la double pédale...lui qui aimait les masses de sons qui se déplacent. Il se serait certainement régalé.
enfin c'est la richesses des doigtés et leur exploitations qui, je trouve, ouvrent de nouvelles perspectives aux percu qui vont vers la batterie.
Je ne connais aucun équivalent en perc classique ou contemporaine.
(bon épargnez moi les tambours napoléonien et ses doigtées, ...oui je sais il aurait des ponts à faire ...m'ci)
connaissez vous la classe de batterie du conservatoire de Perpignan?
et son prof André Mallau?
c'est pas mal nan? qu'en dites vous?
http://www.andremallau.com/