Rick a écrit :Je suis d'accord, la drogue et l'alcool ne font pas bon ménage avec concerts.
Quoiqu'il en soit, j'avais pensé à quelques "artifices", par example, mettre de l'ice-tea dans une bouteille de whiskey (vide bien sur... on ne va pas gâcher), ou bien de l'eau dans une bouteille de vodka (vide aussi bien sur).L'effet est garanti, on reste sobre tout le concert, et on épate la galerie: les gens sont persuadés que tu te déchires la tronche en jouant et n'y voient que du feu.
A tester pour ceux qui ont envie: personnellement, c'est testé et approuvé (et à recommencer ^^ ).
![Mr. Green :mrgreen:](./images/smilies/icon_mrgreen.gif)
le problème, n'est pas du tout "de quoi j'ai l'air" si le public s'aperçoit que je l'ai blousé ;
En vieillissant, tu vois les comportements QUE TU INDUITS ou tu y es plus sensible, si tu as des enfants
= les gamins au premier rang, tu leur montre quoi = que musique égale biture EN PUBLIC.
Le besoin/envie de modifier ta conscience en privé - est une chose
Les conséquences d'associer une conduite addictive à la musique live en est une autre.
Je dis çà, mais j'ai une bière fraîche souvent à coté de moi... une, pas douze
L'expérience inverse est intéressante aussi, mais pas à la portée de tout le monde :
Concert dans une Boîte Basque R'n'R surchauffée (il y a 20 ans)
- Plafond à 2 mètres, température 40, le public dingue, tout le monde à la pépie.
- Mon chanteur préféré boit dans une carafe de cantine ce qui semble être de l'eau.
- à la fin du show, il parie le prix de la sono avec l'ingé son, qu'il chante a cappella
"Ta cathy t'as quittée" (bonjour le texte et le débit) sans se tromper... et il le fait.
- fin du gig, je prends la carafe de 1 litre, presque vide, trop soif...
je recrache tout = c'était du GIN